Une charte ? Pourquoi pas ! Mais en relisant notre histoire...

  • Michel Uyt
    Michel Uyt

    le samedi 14 mars 2015 à 18:46 Citer ce message

    Une charte pour notre UP ! Pourquoi pas ?
    Mais quelque chose me passe par la tête.
    On ne peut pas penser une charte de l’UP comme si on partait de rien, comme si on partait d’une page blanche.
    En fait, il y en a déjà plein, des pages, couvertes d’histoires, d’anecdotes, de cancans, d’indiscrétions, de rumeurs, de bruits.
    Ce sont des pages qui racontent la vie, notre vie, celle des grands et des petits moments. Regardons bien : ce sont des pages où on peut découvrir en filigrane une joie. Une joie spéciale, particulière : celle de l’évangile…
    Et quand je regarde un peu en arrière, pour le dire avec des grands mots, cette joie, c’est un peu la joie de l’évangélisation. Oh, pas l’évangélisation où on proclame les grandes vérités de la foi devant les foules, non ! La toute petite évangélisation où on est simplement un petit grain du sel de la terre. C’est ce sel-là qui se trouve dans les contacts, les fêtes, les assemblées pour nos messes du samedi ou du dimanche. C’est ce sel qui donne du goût.
    Si on doit faire une charte, ça me plairait d’y voir traduit d’une manière ou de l’autre cet aspect des choses, qui me semble avoir été important pendant toutes ces années !
    D’ailleurs, un de mes potes, François, - il habite Rome – m’a écrit une longue lettre à propos de cette joie de l’évangile. Il me disait notamment :

    « Retrouvons et augmentons la ferveur, « la douce et
    réconfortante joie d’évangéliser, même lorsque c’est dans les larmes qu’il faut
    semer […] Que le monde de notre temps qui cherche, tantôt dans l’angoisse,
    tantôt dans l’espérance, puisse recevoir la Bonne Nouvelle, non
    d’évangélisateurs tristes et découragés, impatients ou anxieux, mais de ministres
    de l’Évangile dont la vie rayonne de ferveur, qui ont les premiers reçu en eux la
    joie du Christ

    Une annonce renouvelée donne aux croyants, même à ceux qui sont tièdes
    ou qui ne pratiquent pas, une nouvelle joie dans la foi et une fécondité
    évangélisatrice. »
    (La joie de l’Evangile, 10 et 11)

    François exprime bien les choses. Quand je repense à ce qu’on a déjà vécu, il me semble que ce qu’il écrit s’applique bien à nous.

    Non ?

    Et concernant l’idée de regarder en arrière pour comprendre ce qu’on aimerait dans l’avenir, il me semble que j’ai déjà lu quelque chose là-dessus. Si je le retrouve, promis, je vous le passe !

    A bientôt,
    Michel
  • Michel Uyt
    Michel Uyt

    le mardi 17 mars 2015 à 21:59 Citer ce message

    Ca y est, j'ai remis la main dessus !
    Le P. Joseph Thomas ("sj" ! Ca y est, nous sommes cernés !) l'a exprimé beaucoup mieux que je ne pourrais le faire : "la relecture est toujours prospective".
    Son texte est inspirant ; je vous le livre comme il vient - bonne lecture ! - :

    [i][/i]Pourquoi « relire » sa vie ?

    Ce qui fait l'homme, c'est la reprise permanente des expériences qu'il a vécues. La relecture est toujours prospective, dans une dynamique tournée vers l'avenir. On ne parviendra à progresser qu'autant qu'on aura tiré les leçons des expériences antérieures. Seule l'expérience est formatrice, mais seulement l'expérience relue, reprise... On vit en avant, on comprend en arrière !
    Les événements qui ont été vécus ne sont rien par eux-mêmes. Seule compte la manière dont nous les faisons nôtres en leur donnant un sens.
    L'homme qui ne revient pas sur ce qu'il a vécu en reste à la surface de lui-même. Il n'y a pas expérience dans la pure facticité de l'événement. La relecture est le passage au langage et rien n'est réellement humain qui n'accède au langage. C'est quand on peut se dire à soi-même ce que l'on a vécu que l'expérience est réellement intériorisée. Alors elle est formatrice.
    Il convient donc de prendre le temps de cette relecture. Il y faut un arrêt, comme un espace sabbatique... Il faut des temps de recul pour « me remettre en mémoire les bienfaits reçus »par le Créateur de tout don. Autrement les choses semblent aller de soi, y compris l'existence.
    La relecture est la condition de l'émerveillement.
    Prendre conscience de ce que nous avons vécu, prendre le temps de nous le redire à nous-mêmes, est la condition nécessaire pour que l'homme se forme à travers les expériences de la vie.

    D’après Joseph Thomas sj
  • Rose Dehez
    Rose Dehez

    le mercredi 18 mars 2015 à 07:55 Citer ce message

    Combien il est important de pouvoir relire notre histoire !!!

    Parfois on n’ose pas regarder en arrière tout simplement parce qu’on n’est pas très fier des choix que l’on y a fait. Je pense qu’alors il faut se souvenir que Dieu notre père nous aime et qu’il sait qu’on fait ce qu’on peut avec ce qu’on a ou ce qu’on sait à un moment donné. C’est sans doute un moment clé pour apprendre la tolérance et apprendre à pardonner. Faisons de ces regrets ou de ces remords des occasions de grandir dans la foi.
    Parfois on regarde trop souvent en arrière et on s’enferme dans notre histoire qui devient alors simplement une histoire et une histoire que l’on se raconte et qui se transforme petit à petit ...
    Je pense que notre regard doit se porter sur le passé simplement pour mieux construire l’avenir. Notre histoire n’a de sens que parce qu’elle nous (a) fait vivre, alors …

    Se souvenir de la première fois où dans cette église quelqu’un nous a appelé par notre prénom pour qu’à notre tour nous puissions accueillir les autres,
    Se souvenir de ces moments de prières partagés ensemble et qui nous ont donné tellement de paix, cette paix reçue que nous nous devons de partager sans limite est sans frontière.
    Se souvenir de ces sourires croisés dans nos assemblés et qui donnent tellement de joie, cette joie que François nous demande de communiquer au plus grand nombre d’entre nous.
    Se souvenir de ces verres de l’amitié où des liens se sont tissés et où nos histoires se sont racontées petit à petit
    Se souvenir pour ne pas refaire les mêmes erreurs
    Se souvenir pour refaire les mêmes choix
    Se souvenir pour pardonner
    Se souvenir pour remercier

    Souvenons-nous mais ne soyons pas nostalgiques.
    Ne vivons pas dans un souvenir du bonheur vivons heureux.
    Ne vivons pas dans le souvenir de la paix, soyons en paix.

    Je pense qu’il est important de ne pas tomber dans le « c’était mieux avant ». Cette phrase est pour moi le signe que nous sommes enfermés dans les souvenirs et elle nous empêche de vivre. En effet, pourquoi agir puisque de toute façon c’était mieux avant ?
    Mettons-nous à l’œuvre pour construire aujourd’hui des moments de paix, des moments des prières, des moments de joie, des moments de rencontre avec Dieu, … Ainsi dans quelques années nous pourrons nous souvenir.

    Je me réjouis de construire aujourd’hui les souvenirs de demain.

    Rose
  • Alain
    Alain

    le mercredi 18 mars 2015 à 10:54 Citer ce message

    Une charte, oui !, comme fondement de notre vie de chrétien dans notre Unité pastorale… mais pas que !

    Il serait si bon de s’arrêter à ce que l’on est, en profitant de tout ce qu’on a déjà réalisé, et d’en rester là.

    « Pierre alors prend la parole et dit à Jésus : “Rabbi, il est bon que nous soyons ici ! Dressons donc trois tentes : une pour toi, une pour Moïse, et une pour Élie.” » (Mc 9, 5)


    L’avenir commence maintenant et nous devons penser en termes concrets, avec des actions concrètes dans notre vie de tous les jours et des limites dans le temps. Sinon on restera dans un esprit quelque peu éthéré sans retombée réelle dans la vie.

    « Et maintenant, allez dire à ses disciples et à Pierre : “Il vous précède en Galilée. Là vous le verrez, comme il vous l’a dit.” Elles sortirent et s’enfuirent du tombeau, parce qu’elles étaient toutes tremblantes et hors d’elles-mêmes. Elles ne dirent rien à personne, car elles avaient peur. » (Mc 14, 7-8)


    Voici – pour lancer des pistes – un extrait de la Charte du Vicariat ‘Annoncer l’Évangile’ de notre diocèse, regroupant les services diocésain de catéchuménat, catéchèse et liturgie.

    « Comment croiraient-ils en celui dont ils n'ont pas entendu parler ? Et comment en entendraient-ils parler, s'il n'y a personne qui l’annonce ? Et comment l’annoncer sans être envoyé ?» (Rm 10,14-15)

    Ces phrases fondent toute la mission de l’Église quand ne cessent de résonner à ses oreilles et en son cœur les mots du Christ « Allez par le monde entier, proclamez la Bonne Nouvelle à toutes les créatures » (Mc 16,15).

    Elles fondent à un titre tout particulier la tâche du Vicariat « Annoncer l’Évangile ».

    Disciples du Christ, passionnés de sa Parole, les chrétiens trouvent en lui une source de joie, de paix et de bonheur. Cette découverte qui féconde leur vie, ils n’ont de cesse que de la partager. Comme la femme de Samarie (Jn 4) qui, toute retournée par sa rencontre avec Jésus, alerte tout son village pour le conduire à Lui ; ou comme ce lépreux qui ne peut s’empêcher de « proclamer bien haut et de répandre la nouvelle » de sa guérison (Mc 1,45).

    C’est cet élan enthousiaste qui, aujourd’hui comme hier, mobilise toutes les énergies de l’Église pour faire connaître le Christ et sa Parole : « Ce que je vous dis dans l’ombre, dites-le au grand jour ; ce que vous entendez dans le creux de l’oreille, proclamez-le sur tous les toits. » (Mt 10,27). Citant son prédécesseur Paul VI, le pape François parle de la douce et réconfortante joie d’évangéliser ; il invite à être « des ministres de l’Évangile dont la vie rayonne de ferveur parce qu’ils ont, les premiers, reçu en eux la joie du Christ. » (EG 10, citant EN 80).

    C’est par toutes les dimensions de son existence et tous les secteurs de son activité que l’Église s’acquitte de cette tâche. Mais à un titre tout particulier le catéchuménat, la catéchèse et la liturgie sont des lieux où cette mission s’exerce : le catéchuménat conduit les adultes vers les sacrements de l’Initiation chrétienne ; la catéchèse éveille à la foi et aide chacun, petits et grands, jeunes et adultes, à grandir dans cette foi ; la liturgie fait résonner dans le cœur, par la prière et la célébration, la Parole de Vie. Ces trois hauts-lieux de la vie ecclésiale concourent à l’unique objectif de l’initiation chrétienne : un chemin toujours inachevé par lequel chacun, chacune est conduit à s’approcher doucement du cœur de Dieu et à enraciner sa vie en son amour pour demeurer en Lui selon le vœu même du Christ : « Demeurez en moi comme je demeure en vous » (Jn 15,4). Parole, enseignement, prière et sacrements ne sont-ils pas les moyens les plus éprouvés pour favoriser cette « entrée en communion » ainsi que les Actes des Apôtres l’avaient déjà signifié quand ils décrivent la première communauté chrétienne « fidèle à l’enseignement des apôtres, à la communion fraternelle, à la fraction du pain et à la prière » (Ac 2,32).

    Au long des siècles, l’Église a exercé, de bien des manières, ce ministère de l’annonce de la Parole et de la Communion ; elle a sans cesse rajusté sa pratique aux circonstances ecclésiales et culturelles pour mener à bien sa mission. Depuis peu, elle a pris conscience qu’une nouvelle mise à jour était nécessaire. Ainsi, héritier en cela de quelques décennies de réflexions fécondes, le pape François invite-t-il, pour rencontrer la situation nouvelle de notre Église dans le monde contemporain, à de réelles mises en questions d’idées et de pratiques pourtant bien ancrées. C’est l’objet de son Exhortation Apostolique si joliment nommée « La joie de l’Évangile ». Il y écrit par exemple : « La pastorale en terme missionnaire exige d’abandonner le confortable critère pastoral du “on a toujours fait ainsi”. J’invite chacun à être audacieux et créatif dans ce devoir de repenser les objectifs, les structures, le style et les méthodes évangélisatrices de leurs propres communautés » (EG 33).

    De même, Enzo Biemmi, catéchète de renom international, parle de la fin d’un modèle de communication de la foi. Il attire notre attention sur le fait que cette problématique déborde largement du champ purement catéchétique pour se situer en un plan plus large : « Il s’agit d’examiner et de mettre en œuvre une nouvelle modalité de l’Église dans son être-au-monde et en conséquence un nouveau modèle d’inculturation et de transmission de la foi » (« Le défi de la première annonce », conférence à Liège, 16 avril 2013). Ainsi, comme et avec d’autres, invite-t-il à une conversion missionnaire de la catéchèse, centrée sur la première annonce et vécue comme chemin d’initiation qui s’inscrirait dans une démarche globale d’une Église se réformant pour se mettre résolument « en sortie missionnaire » (EG, 20ss).

    Ce sont ces perspectives que Monseigneur Delville a voulu rencontrer en fondant le Vicariat « Annoncer l’Évangile » regroupant les préoccupations conjointes de la liturgie, de la catéchèse et du catéchuménat. « Ma deuxième priorité est donc celle-ci : comment sommes-nous acteurs de la communication de l’Évangile ? Cela passe par l’engagement social. Mais cela continue par l’annonce explicite (…) Pour valoriser cette dimension de l’annonce de la Parole de Dieu, j’ai décidé de créer un Vicariat de l’Annonce de l’Évangile ; il comprendra trois Services (…) » (« Un « Kairos » pastoral », Banneux, 18 mars 2014). Le souhait et le projet de ce nouveau Vicariat sont donc clairement de chercher à ce que ces trois secteurs de la vie de l’Église entrent en dialogue, au plan diocésain comme local, pour se féconder mutuellement et concourir avec bonheur à l’unique mission.

    Voilà le défi auquel le Vicariat « Annoncer l’Évangile » voudrait s’atteler. Il souhaite encourager, soutenir et former dans leurs tâches actuelles les acteurs pastoraux et tous ceux qui sont engagés au service de la liturgie, de la catéchèse et du catéchuménat. Il voudrait également aider communautés et pasteurs à réfléchir, à discerner ce qui est porteur d’avenir ou ne l’est pas et, le cas échéant, à ajuster leur pratique de manière à dessiner ensemble un nouveau visage pour l’Église. « La transition, dit encore Enzo Biemmi, nous demande d’entretenir et en même temps d’engendrer, c’est-à-dire d’avoir dans notre pastorale une sagesse audacieuse » (« Le défi de la première annonce », conférence à Liège, 16 avril 2013).

    Alain
  • DELWICK
    DELWICK

    le mercredi 18 mars 2015 à 18:11 Citer ce message

    Avant, c'était plus facile de vivre en communautés paroissiales, parce qu'on était plus nombreux et les tâches mieux réparties. Nous étions portés les uns par les autres, les uns pour les autres. Le nombre créait une dynamique et cette dynamique nourrissait notre enthousiasme.

    Aujourd'hui, je dois me mobiliser davantage pour créer une nouvelle dynamique (évangélisation ?) et retrouver l'enthousiasme. L'Eglise d'aujourd'hui et de demain ne se fera pas sans la mobilisation de tous.

    Aller à la source pour y puiser l'eau de vie, la force; aller à l'essentiel du message du Christ pour retrouver la joie de vivre. Cette joie qui deviendra contagieuse si nous le voulons.

    Marie Paule
  • Baggen
    Baggen

    le samedi 21 mars 2015 à 12:53 Citer ce message

    Bonjour à ceux qui passent par ici.
    Je suis d’accord avec les messages précédents qui mettent en exergue les paroles d’un sage parmi les sages ; à savoir notre pape François. Il a les mots justes d’aujourd’hui. Autant s’en inspirer.
    Je retiens deux mots pour repartir d’un bon pied : Se réformer, s’adapter.
    Cette remise en question, si elle se vit au quotidien, deviendra un comportement naturel à une époque où le découragement, voire l’indifférence, est devenue la tentation la plus subtile.
    Avec comme insiste Michel, la relecture des expériences
    Avec Rose, dans le même ordre d’idées : Se souvenir… Pour s’émerveiller, pour remercier, pour pardonner, etc… Se souvenir pour avancer

    Je crois que tout cela est déjà bon pour ne pas se laisser mener par le bout du nez par… par nos propres peurs et nos fragilités ; par nos découragements et nos fatigues.

    Et si, à l’instant présent – à chaque instant présent –, je peux positiver, je peux dire « oui » ; je peux faire un tout petit pas avant ; je peux accepter ce qui n’a pas été, et peut-être comprendre pourquoi, et peut-être me laisser guider sur un nouveau chemin… Si je peux garder espoir, quand tout semble aller mal… Si je peux partager pour mieux avancer… Alors, c’est ma propre foi, qui s’en trouve nourrie et par-là ma mission d’évangélisateur, un peu moins insurmontable !

    Et comme le laisse entendre Alain et Marie-Paule, (ré) apprenons de Dieu et des saints, et partageons la Parole, pour rester compétents et enthousiastes, toujours nourri par le feu sacré.
    Echangeons et motivons-nous aussi les uns les autres.

    Si donc, je veux croire que tout est encore possible, alors, je dois commencer par bannir de mon esprit quelques stéréotypes négatifs.
    Si je devais rédiger une charte, ce serait une sorte de mise en garde : invitation à positiver plutôt que de me mouler dans le négativisme ambiant: un peu sous le mode traditionnel, du « Ne dites pas… Dites… »
    Voici quelques idées :
    Ne disons plus : « On ne peut pas être et avoir été ! ».
    Disons plutôt : « Aujourd’hui, je veux être… »
    « Aujourd’hui, je veux renaître… »
    « Aujourd’hui, je veux agir… »
    « Aujourd’hui, je veux me laisser prendre par ta main »

    Ne disons plus : « Ce que je fais c’est pour aider untel ou untelle »
    Disons plutôt : « Ce que je fais, c’est avec elle ou avec lui, que je le fais… »
    « Je ne fais qu’accompagner, soutenir la personne dans le besoin. »

    P.S . : Qui a déjà suivi sur Internet, une conférence, voire une formation, par Jean-Jacques Crèvecoeur (Académie de la Vie en Mouvement) ?
    Cela me paraît intéressant… mais je n’en suis pas plus sûr !
  • Marie-Hélène
    Marie-Hélène

    le mardi 24 mars 2015 à 13:50 Citer ce message

    Il y a "Pour quelle fête?" Il pourrait y avoir "Pour quelle Joie ?"
    Je me sens en résonance avec le message de Michel Uyt. Relire notre histoire et épingler tous ces moments heureux, précieux dans notre mémoire, ceux qui nous ont fait vibrer ...
    J’aime particulièrement cette expression « se donner un espace sabbatique », cela me parle beaucoup ; quand nous quittons tout pour partager la Parole le samedi soir (18h et même à 16h30).
    Quitter tout pour retrouver une Communauté … laquelle ?
    Je souhaite une Communauté où l’on puisse encore mieux se connaître, se rencontrer avant et après l’Eucharistie qui nous a rassemblés. Rencontrer les personnes là où elles sont et leur donner le goût, l’envie de revenir … (être le sel …)
    Pour moi être relais, c’est surtout relier les personnes entre elles, être à leur écoute et aussi découvrir leurs charismes.
    Ainsi en portant notre cœur les uns vers les autres, nous pourrons faire avancer le Royaume !
  • Rose Dehez
    Rose Dehez

    le mercredi 25 mars 2015 à 12:53 Citer ce message

    En lisant et en relisant toutes ces contributions, toutes ces pensées que vous avez tous accepter de partager, je me rends compte que ma vision du monde s'ouvre.

    Merci pour cela.
    Merci de partager un peu de vos réflexions, de vos valeurs, bref de votre histoire.

    Que cette expérience est riche !!

    Rose

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